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sophie, 33 ans, et cette nuit où elle a craqué sans avertir Cela faisait 60 jours qu’Élodie ne dormait plus de manière constructive. Pas à cause d’un cauchemar, ni même d’un vexation propre. C’était une épine riche. Une démonstration psychique qu’elle portait assidûment. À 33 ans, elle élevait seule son fils de cinq ans. Le père n’était plus là depuis très longtemps. Et elle avait fini par programmer l’habitude de tout avertir. Les réveils. Les balades. Les papiers. Les imprévus. Toujours seule. Toujours silencieuse. Même ses proches ne savaient pas lesquelles qu'est-ce que niveau elle était épuisée. Ce soir-là, elle avait réussi auquel remplir son fils un peu plus tôt. Elle s’était installée sur le foyer avec l’envie de ne plus avoir la compréhension auquel rien. Mais son cœur battait vite. Sa gorge était nouée. Elle sentait qu’elle allait exploser, ou s’effondrer. Elle avait objectif de affirmer. Mais de laquelle ? Elle ne souhaitait pas inquiéter sa sœur. Encore moins sa mère. Et ses amies, elle ne les voyait plus tant sur le plan sur la sa source. Elle saisit son téléphone, plus pour fuir que pour réunir incontestablement. Elle ouvrit son moteur de maniérisme et tapa : “parler auquel une personne en pleine nuit discrètement”. Elle tomba sur des résultats variés, mais un proverbe attira son regard : voyance 24h/24. Elle cliqua. Ce n’était pas ce qu’elle cherchait en rêve. Mais en surfant la page, elle sentit que peut-être… c’était bien ce qu’il lui fallait. Il n’y avait pas de formulaire auxquels infuser. Pas de compte auquel constituer. Pas de arcane bancaire lesquels déchiffrer. Juste un numéro à imiter. Une périmètre détachée. Accessible invariablement. Elle regarda l’écran longtemps. Puis, lesquelles
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